Isabelle Ducau
46 ans, pacsée et mère de deux enfants, je vis à La Tour du Pin en Isère.
Docteur en pharmacie, j’ai travaillé pendant 20 ans dans l’industrie pharmaceutique, jusqu’en avril 2015. Un burn-out a mis fin à ma carrière pharmaceutique et m’a conduite à revoir mes priorités de vie et la satisfaction de mes besoins profonds.
J’ai entamé une reconversion professionnelle fin 2016. Je suis sophrologue en devenir (je démarrerai mon activité début 2019) et praticienne en Jin Shin Jyutsu (je réfléchis à un lancement sur 2018).
La sophrologie c’est plus ou moins connu. C’est pour se relaxer non ? Oui bien sûr ça relaxe mais pas seulement. La sophrologie est tout à la fois une science qui étudie la conscience, une philosophie pour mieux se connaître et donc mieux se comprendre, elle permet au pratiquant d’aller vers plus d’harmonie, elle est un outil de gestion du stress et de construction des projets personnels. Avant toute chose, la sophrologie s’expérimente pour en comprendre tous les atouts. C’est un révélateur de potentiel ! Pratiquer des exercices de respiration, des exercices corporels simples (où il n’est nullement question de performance), prendre conscience de ce qu’il se passe en nous, de la place que nous occupons, des ressources qui sont les nôtres et que nous pouvons mobiliser à tout moment pour faire face à l’adversité. Porter attention à ce qui va bien et au positif plutôt qu’à ce qui va mal. Le sophrologue ne vit pas dans un monde de bisounours, il apprend simplement à ne pas laisser le négatif prendre toute la place. Il apprend à prendre conscience de ses ressources personnelles (et il y en a beaucoup) et à les réutiliser lorsqu’il rencontre des difficultés dans sa vie. Il apprend à élargir sa conscience de lui-même, des autres et du monde. Et lorsqu’il maîtrise ces outils, il les transmet à ses clients avec bienveillance. Les pratiquants sont partie prenante dans leur bien-être.
Le Jin Shin Jyutsu c’est beaucoup moins connu. Il s’agit d’un art d’harmonisation énergétique du corps, des émotions et du mental par le toucher. C’est un art ancien japonais. Ah oui, c’est comme l’accu-pressure ? Point du tout. Pas de pression, pas de massage. Retirez vos chaussures et allongez-vous sur une table. En posant mes mains sur des points précis du corps je vous aiderai à lever les blocages énergétiques qui génèrent des dysharmonies (symptômes se traduisant par des douleurs, physiques, des pathologies, des émotions négatives ou des états psychiques délétères). Pour prolonger la séance, je donne des exercices d’aide à soi-même, très facile à réaliser qui permettent à la personne d’être actrice de son bien-être. Le Jin Shin Jyutsu repose sur l’énergétique. Tout est énergie, visible ou invisible selon le niveau de densification de cette énergie. Tout est issu de l’énergie originelle, celle du big bang. Nous sommes tous reliés entre nous et au monde. Toutes les médecines orientales reposent sur cette notion d’unité. Elles établissent que notre corps et notre esprit sont indissociables contrairement à ce que nous laisse penser notre médecine occidentale qui distingue corps et esprit et étudie les organes séparément. Le Jin Shin Jyutsu peut venir en support à toute thérapie et à tout traitement ou bien simplement entretenir votre bien-être, comme un cadeau à soi-même.
Sophrologie et Jin Shin Jyutsu sont deux voies de connaissance de soi, deux manières d’acquérir des outils pour s’aider au quotidien. Il y a finalement une grande complémentarité et beaucoup de similitudes philosophiques entre ces deux pratiques.
Depuis novembre 2015 j’ai créé et j’anime le blogue « Les Carnets du Bien-être » sur lequel je partage des idées et des outils pour se détendre et se ressourcer. J’y parle de Jin Shin Jyutsu (beaucoup), de sophrologie (de plus en plus) et de beaucoup d’autres choses.
Je suis très heureuse de partager mes idées au cours d’une soirée Tribe pour semer quelques petites graines qui germeront chez les participants ou pas. Chacun est l’artiste de sa propre vie.
Site Internet : www.lescarnetsdubienetre.com